GT Mémoire et Transmission

Découvrir la ville et le patrimoine en se promenant à Rennes.

Voici quelques idées de balades à Rennes :

D’autres promenades sont en préparation………

guide de Rennes 1924

 

Mais d’abord, une petite promenade nostalgique avec une  Promenade à Rennes en 1924 réalisée à partir d’extraits  d’un guide touristique de l’époque. Ce document comprenait également des affiches et réclames.

 

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Visites découvertes de la ville à faire soi-même ou lors des promenades organisées.

 

Une promenade dans Rennes autour de l’incendie de 1720 :  A la recherce de la plus vieille maison de Rennes

 

 

 

 

De la croix de la Mission en passant par le quai St Cyr, la confluence, le parc, les rives de l’Ille et du canal d’Ille et Rance, un quartier entouré d’eau :Le tour de l’île de Rennes

 

 

 

Au fil de l’eau, le pont strasbourg-Pasteur.

– A la recherche des habitudes alimentaires d’antan.

 

 

 

 

Traversée de Rennes par le  GR 39 de l’Ave. du Canada au BD de la TA 

Traversée de Rennes par le GR 39 du Bd de la TA au Prairies St Martin]

 

 

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Et dans la région rennaise…

 

Le patrimoine de  SAINT SULIPICE LA FORET 23 JANVIER 2012

 

 

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COMME NOUS ILS VALORISENT LE PATRIMOINE RENNAIS :

http://www.baladesarmoricaines.fr/

http://www.tourisme-rennes.com/visites-rennes.aspx

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Le chemin de l’école patrimonial raconté aux enfants

« LES AMIS DU PATRIMOINE RENNAIS » proposent « Des Chemins de l’Ecole » (périphérie d’un Kilomètre autour de l’école) qui permettent aux élèves de découvrir ou mieux connaître le Patrimoine devant lequel ils passent tous les jours en se rendant à l’école…Il peut s’agir des arbres, des haies, des jardins, des bâtiments, des oeuvres d’art, des momuments commémoratifs, des personnages y ayant vécu, des événements qui s’y sont déroulés; des noms des rues etc…Cette proposition s’inscrit évidemment en complémentarité avec les démarches des institutions patrimoniales (archives, musées, bibliothèques, Office de Tourisme).

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DUBO…DUBON

RANDONNEE DES ARCHITECTES MUNICIPAUX ET DEPARTEMENTAUX DES XIX° ET XX° Siècle.

« DE LA PRISON A LA POISSONNERIE »

DIMANCHE 20 JUIN 2010-

RENDEZ VOUS à 14h30 Boulevard Jacques Cartier devant l’entrée principale de « LA PRISON JACQUES CARTIER »(1898) = « LA CATHEDRALE DE SCHISTE POURPRE » ( selon Jean Yves VEILLARD, Président de l’Association.

Œuvre de Jean Marie LALOY – Architecte départemental. Plan en croix latine.

« Système panoptique », c’est-à-dire une organisation qui permet d’un point d’observation interne d’embrasser le tout d’un regard.

(Du grand lanterneau central à la porte d’entrée, c’est un jeu sûr de volumes et de sobres éléments décoratifs)

Comme le rappelle, une plaque à l’entrée ; des Résistants y furent enfermés avant d’être déportés.

« CRECHE ALAIN BOUCHART » à l’entrée ouest du square de Villeneuve ;

Architecture d’Emmanuel LE RAY avec Décors Céramique ODORICO.

« EGLISE DES SACRES CŒURS » (1908-1913) – Architecture d’Arthur REGNAULT.

La tour du clocher a été achevée par une flèche en charpente conçue par Derrouch et Rual –(1960)

« LA CENTRALE PENITENTIAIRE DES FEMMES »

– Le mur d’enceinte longeant la rue de l’Alma pourrait être menacée de destruction. On a déjà cassé le sens de l’architecture d’Alfred NORMAND en démolissant la partie Nord de ce mur lors des aménagements de voierie liés à la nouvelle gare T.G.V.-

Bâtiments disposés dans un quadrilatère délimité par un mur d’enceinte dont chaque côté est rythmé par 36 jambages de grand appareil insérés dans la maçonnerie de schiste avec 4 tourelles aux angles.

Une plaque commémorative rappelle que des Femmes Résistantes y furent incarcérées avant d’être déportées à Ravensbrück ;

« ECOLE QUINELEU » construite par Emmanuel LE RAY en 1902.

(A l’époque, il s’agit d’une zone d’extension de la ville qui s’est développée au sud de la gare ferroviaire, autour de la Maison centrale des Femmes érigée une vingtaine d’années plus tôt)

Cette école est en osmose avec son quartier par sa volumétrie et les matériaux -schistes, briques- apparents en façade. Elle exprime parfaitement les constantes de LE RAY par des ouvertures en façade, des dispositifs de ventilation, des locaux sanitaires des cours bien protégées et arborées.

La qualité de la conception est telle qu’elle a quasiment conservé son état d’origine en un siècle d’existence.

« PAVILLON DE LA FOIRE EXPOSITION DU CHAMPS DE MARS » conçu par Emmanuel LE RAY – Conservation assurée avec extension envisagée –

Confrontation amusante et bienvenue avec la modernité des « CHAMPS LIBRES ».

« LYCEE EMILE ZOLA » de Jean Baptiste MARTENOT ».

Avec le bâtiment sud et la chapelle – 1877-79 – construit dans l’alignement de l’Avenue Janvier , MARTENOT crée un véritable front de scène derrière lequel, sur un site de configuration irrégulière, il articule avec talent, des corps de bâtiments organisés autour de cours de belles proportions.

Le premier édifice au fronton duquel trône toujours l’aigle impérial est un dérivé du modèle du Château « Louis XIII » appliqué à l’architecture scolaire.

(D’Alfred Jarry qui y rencontre le Père « UBU » ; à Pierre Jakez HELIAS en passant par Paul RICOEUR ; la liste est très longues, des anciens lycéen(ne)s devenu(e)s renommé(e)s ou tout simplement reconnu(e)s dans leurs spécialités respectives).

(Le second Conseil de Guerre relatif à l’Affaire DREYFUS s’est tenu dans la Salle des Fêtes du Lycée du 7 Aout au 9 Septembre 1899.).

« ECOLE DE LA LIBERTE » – Architecte – Emmanuel LE RAY –

Dans cette école ouverte en 1912, les salles sont vastes, hautes, bien lumineuses. C’est une des réalisations les plus abouties d’Emmanuel LE RAY pendant le mandat du Maire Jean Janvier.

Divisé en 2 écoles séparées avec une entrée pour les filles et une pour les garçons, le projet prévoit un groupe scolaire de 16 classes. La construction de très belle qualité associe a brique blonde de Hollande, la brique rouge, la pierre de Loire et le granit.

« HALLES CENTRALES » – Architecte – Emmanuel LE RAY –

La construction débutée en 1913 est interrompue en raison de la première guerre mondiale. Les Halles centrales sont inaugurées en Mai 1923.

Autour d’une cour bordée sur 3 côtés d’une galerie destinée à « La vente au Panier » – LE RAY dispose 4 corps de bâtiments aux fonctions bien déterminées – Au Sud : La Poissonnerie, à l’Ouest : Les fruits et légumes, à l’Est : La boucherie, au Nord les Bureaux et la Criée.

(Travail sur les matériaux remarquable : Une palette de plusieurs granits, de la brique blanche et de la brique rouge, du métal, des carreaux de grès flammé, une charpente en acier pour la majeure partie et en bois pour les deux pavillons au Nord.

« MUR DUBONNET – RIPOLIN » Place Sainte Anne.

« En 1992, une trentaine de Graphistes de France et d’Europe se mobilisent déjà pour la préservation de ce mur peint qui accueille des publicités depuis un siècle environ.

Les Graphismes « DUBO-DUBON-DUBONNET » sont dûes à l’affichiste CASSANDRE

‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’ « RIPOLIN » sont réalisés à partir d’une affiche de VAVASSEUR.

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