Commentaires des APR:
Les Amis du Patrimoine Rennais persistent et signent leurs propos cités dans la presse.
Il y a des aberrations, des ensembles (standards choisis sur catalogues par les Maîtres d’œuvre) sortis d’usine, qui sont mis devant des bâtiments classés trois étoiles au patrimoine local remarquable en annexe du PLU.
Non, Monsieur Sémeril, Les Amis du Patrimoine Rennais ne sont pas « Egoïstes – Moi, je suis hébergé à Rennes, les autres tant pis pour eux ».
Ils sont tout simplement vigilants à ce que l’on ne détruise pas en faisant disparaître à jamais des traces architecturales, artistiques, historiques qui sont autant de racines de vie à faire perdurer pour l’épanouissement de tous ceux qui habitent Rennes et la joie des touristes appréciant aussi le cadre de vie soigné de Rennes.
En apprenant à respecter le patrimoine remarquable, vous verrez que vous ne perdrez pas beaucoup de places et que vous pourrez loger « en intelligence » en négociant préalablement avec eux. Les concertations Rennes 2030 mettent l’auditoire devant le fait accompli de décisions prises dans le cercle fermé des élu(e)s et des experts.
La pétition « Protégeons l’Espace Urbain à Rennes » continue de tourner jusqu’à ce qu’elle ait recueilli des milliers de signatures.
A l’initiative d’autres collectifs, comme les fleurs au Printemps, surgissent de partout des pétitions contre d’autres initiatives immobilières non comprises par les résidents du voisinage. Il en est de même pour les vieux arbres de Rennes. Ne les Abattez pas !!! Préservez les ! Une pétition pour sauvegarde des platanes de Fréville circule actuellement. Et on ne lâche rien pour ceux qui sont encore là Avenue Janvier.
Les platanes de freville sont malades et se contaminent les uns les autres. Ils sont très proches des logements et le champignon qui les envahit vole et envahit à leur tour les balcons du cours d’Helsinki donnant sur l’avenue Henri Fréville. Les habitants ont beau gratter et laver leurs balcons, les champignons restent. Les platanes ne vont pas tous disparaître, un sur deux sera enlevé…Tout simplement à la demande des habitants qui, depuis de très nombreuses années, n’ont plus aucune lumière à l’intérieur de leur logement et qui s’inquiètent de l’impact de ces champignons sur leur santé.
Pourriez-vous renoncer à cette ridicule manie de l’écriture inclusive, et respecter un peu notre patrimoine linguistique ? Il n’y a pas que les pierres qui comptent. Les mots et nos ancêtres comptent aussi. Merci.